Contact information

Voilà une campagne de recrutement à la fois innovante, digitale et sociale! Le très connu journal Les Echos a lancé une campagne de recrutement nouvelle génération qui se déroule du jeudi 9 jusqu’au 13 avril. Et elle intègre parfaitement les réseaux sociaux Twitter et Facebook. L’objectif est de coller au monde d’aujourd’hui et de trouver les talents qui savent utiliser les outils modernes qui sont à leur portée, et notamment l’outil social media. Ce qu’il faut garder en mémoire en lisant cet article, c’est que les réseaux sociaux sont devenus l’une de sources d’informations principales des journalistes presse. Tout le monde ne sera pas d’accord avec ce journalisme 2.0, et pourtant…

Une campagne de recrutement digitale
« Les enjeux sont sérieux : vous donner l’opportunité d’intégrer la rédaction des Echos pour participer au développement numérique de l’un des plus beaux titres de la presse. »

Le décor est posé. Vous n’êtes pas en train de participer à un jeu concours promotionnel mais bel et bien à une campagne de recrutement 2.0. Et pour passer cette étape de sélection, la cellule RH des Echos appellent les candidats à faire preuve de créativité et de réactivité.

les-echos-recrutement-twitter-facebook

Tous les jours à partir de 16h, du jeudi 10 avril au dimanche 13 avril, les candidats devront dénicher sur le Web une information à fort potentiel qui n’a pas encore été mise en ligne sur lesechos.fr et qui pourrait y trouver sa place. Une fois cette information dénichée, sa mission sera de lui attribuer le titre à la fois le plus pertinent et le plus attractif pour les lecteurs.

Ces deux missions accomplies, ils devront publier ces propositions sur la page Facebook et / ou sur le fil Twitter des Echos en réponse à un post / tweet qui aura été publié au préalable à cet effet. La publication des propositions par les participants se fera uniquement entre 16h et 17h. Chaque participant sélectionné sera ensuite contacté en privé.

Procédure à suivre sur Facebook:

Dénicher sur la Toile l’actualité chaude qui n’a pas été mise en ligne sur lesechos.fr qui pourra intéresser les lecteurs et trouver sa place sur le site.
Lui accorder un titre
Poster le lien sur Facebook de l’article et le titre que le candidat lui avez accordé dans les commentaires sous ce post
Procédure à suivre sur Twitter:

Sur Twitter

Dénicher sur la Toile l’actualité chaude qui n’a pas été mise en ligne sur lesechos.fr qui pourra selon vous intéresser nos lecteurs et trouver sa place sur le site.
Lui accorder un titre
Tweeter le lien de l’article et le titre que le candidat lui a accordé en citant le hashtag #EchosLive
Ce que nous attendons de vous, c’est de sortir des sentiers battus et de repérer une information, sur les réseaux, sur des sites anglo-saxons, francophones, de PQR, de magazines, qui ne soit pas déjà publiée sur un support Les Echos mais qui mériterait d’y figurer, car elle va éveiller la curiosité, l’intérêt des lectrices et des lecteurs.

« Curateur tu es, influenceur tu deviendras »
A mon sens, je trouve cette campagne de recrutement vraiment intéressante tant sur le fond que sur la forme. L’utilisation des réseaux sociaux pour recruter de nouveaux journalistes est pertinente et permet à tous de « tenter sa chance ».

En fait, tout le monde est aujourd’hui capable de diffuser de l’information, beaucoup moins de la créer. C’est une réalité liée à l’explosion de l’utilisation d’une part des réseaux sociaux mais aussi des outils de curation. comme Paper.li, Scoop.it , Rebel Mouse ou encore Twitter (quand il est utilisé de manière chronophage). Les utilisateurs en raffolent et ils permettent à un utilisateur lambda de garder un oeil sur l’actualité et de diffuser de l’information en temps réel au plus grand nombre et de manière très intuitive. Mais être « influent », être capable de diffuser l’information au bon moment, au bon endroit, avec le bon message et le bon format, c’est une qualité qui n’est pas donné à tous. Et cette campagne de recrutement initiée par le journal « Les Echos » vise à trouver ces personnes capables de « sentir le monde ».